mercredi 14 mars 2012

Retour en vidéo sur le rallye de Pila Canale | Corse-Matin

Retour en vidéo sur le rallye de Pila Canale | Corse-Matin

lundi 12 mars 2012

Pascal Trojani remporte le rallye de Pila Canale | Corse-Matin

Pascal Trojani remporte le rallye de Pila Canale | Corse-Matin



Heureux ! Tout s'est bien passé. Il n'y a eu aucun problème. L'ensemble des pilotes ont été contents du parcours, jugé extra. Nous avons eu le beau temps et le public est venu en nombre durant les deux jours. Beaucoup de spectacle et une sportivité exemplaire »,savourait, hier, Pierre Boï, président de l'ASA Corsica, club organisateur du 14e Rallye national Valinco - Pila-Canale.
Un beau coup d'envoi de la saison et pour l'ASA Corsica, une belle satisfaction avant l'épreuve qu'elle concocte pour la fin du mois de juin, le Rallye de la Vallée du Prunelli.
En effet, entre samedi et hier, ça a été chaud et show sur un tracé particulièrement roulant, dispatché en douze épreuves spéciales, équitablement réparties sur les deux journées.
Sous un soleil printanier, la température est vite montée. Et il fallait du « grip » pour rester accroché à l'asphalte et, surtout, du tempérament. Personne n'en a d'ailleurs manqué. Les pédales de droite n'ont jamais été ménagées, bien au contraire, de quoi affoler sans répit les compte-tours.
Quel beau tiercé !
Leader la veille, Pascal Trojani a « envoyé » la sauce, hier dans les six ES, trois entre Bellevalle et Tassinca (12 km) et autant de Calvese à Pila-Canale (13,1 km).
Le pilote de la Peugeot 307, associé à Jean-Noël Vesperini, signait le premier scratch. Agressif à souhait, Stéphane Rovina terminait deuxième, mais prenait une belle revanche dans la seconde spéciale en réalisant le meilleur temps.
De son côté, Pierre-Antoine Guglielmi restait collé au duo de tête.
Ensuite, Trojani faisait rugir encore plus le moteur du lion sochalien en améliorant nettement ses temps précédents.
Rovina ne ménageait pas les fougueux chevaux de sa Renault Mégane, talonné par la Clio de Guglielmi.
Grosse bagarre également dans les autres groupes, notamment en N, où Marc-Antoine Quessada réalisait des prouesses au volant de sa Renaut Clio.
Dans le sprint final, les positions n'étaient pas bouleversées et on retrouvait un tiercé dans l'ordre Trojani, Rovina, Guglielmi qui n'ont pas manqué de se féliciter mutuellement sous une pluie de champagne à l'arrivée à Pila-Canale. Quessada, quant à lui, remportait le Groupe N et la Classe 3.
Du premier au dernier - trente-sept équipages ont rejoint la ligne d'arrivée -, tout le monde était content de cette épreuve qui s'est déroulée dans un parfait état d'esprit.
C'est aussi ce qu'il faut retenir de cette course riche en suspense et en émotions. On en redemande en tirant, bien sûr, un coup de chapeau à l'ASA Corsica

dimanche 11 mars 2012

Pascal Trojani sur la voie royale | Corse-Matin

Pascal Trojani sur la voie royale | Corse-Matin


Météo printanière, hier, à Propriano pour cette entame du 14e rallye national Valinco-Pila-Canale. Soixante-dix équipages étaient finalement sur la ligne de départ. Une mise en route pour le moins véloce qui allait servir de révélateur pour les favoris au premier rang desquels figuraient Pascal Trojani sur la Peugeot 307, Stéphane Rovina (Mégane) et Pierre-Antoine Guglielmi (Renault Clio).
Quant à Romain Dumas sur la Porsche, il ne pouvait prétendre au succès final dans la mesure où il ne participait qu'à la première journée.
Parmi les forfaits de poids, ceux de Succi (Skoda), Aguzzi (Mégane) et Giovanni (Renault Clio).
L'entame du rallye se jouait entre le Pont d'Acoravo et Arbellera. Les 4,5 kilomètres donnaient un aperçu de l'état de forme des prétendants. Pascal Trojani, dont on attendait l'explication avec Romain Dumas, l'emportait en 2'52''1 avec 6/10es de mieux sur le pilote de la Porsche. La dernière place du podium revenait à Stéphane Rovina (2'58'').
Pierre-Antoine Guglielmi était au pied de ce même podium, alors que Jacques Pinna (BMW) s'octroyait la cinquième place. Autre belle performance, celle d'Alexandre Lanfranchi sur la Saxo qui terminait à une très bonne sixième position. Quant au groupe N, il était mené par Jean-Philippe Muselli.
On attendait la spéciale des Martini pour voir si le scénario se confirmait, mais un problème de sécurité, lié à l'absence de défibrillateur, contraignait les organisateurs à l'annuler.
Dumas remporte l'étape et se retire
C'est donc avec un unique tronçon chronométré que s'achevait ce tour initial. L'aspect sécuritaire assuré, le deuxième tour pouvait démarrer sur un programme complet. Une reprise en fanfare dans Acoravo- Arbellara où Romain Dumas signait le scratch avec 2'48''9. Il venait de rendre la monnaie de sa pièce à Trojani qui naviguait à un peu plus d'une seconde. Rovina était troisième. Une ES marquée par l'abandon de l'un des outsiders Jacques Pinna, victime d'ennuis mécaniques. Au sein du groupe N, Leandri (Mitsubishi) devançait Muselli. Avant le premier passage dans l'ES Les Martini, Dumas était leader pour 9/10es. Le duo de tête s'affrontait à coups de 10e. Cette fois Trojani allait plus vite que Dumas pour 2/10e, 6'18''3 contre 6'18''5. Guglielmi était troisième mais à plus de 13''. Rovina et Lanfranchi complétaient le top cinq, suivis par les duettistes du groupe N, Muselli et Leandri. Mention spéciale pour Di Féo qui emmenait son AX à la douzième place.
Au moment de partir pour le dernier tour, Dumas était en tête avec sept dixièmes de mieux que Trojani. Derrière, Rovina était, déjà, à 26''9. Les deux dernières ES de la journée ne changeaient rien en tête de la course. Dumas s'imposait dans l'ES5, devant Trojani qui creusait l'écart sur son poursuivant immédiat Rovina, pointé à 4''6. Jean-Philippe Muselli, jusque-là leader du groupe N, quittait le rallye, dans Acoravo, sur ennuis mécaniques laissant le champ libre à Marc Leandri.
Pour le baisser de rideau, Trojani s'offrait l'ES 6, remportant son troisième tronçon chronométré de la journée devant Dumas et Guglielmi.
A l'issue de la première partie, 51 équipages avaient rejoint le parc fermé sauf Dumas, qui s'était retiré. Pascal Trojani était donc leader du général avec 47''6 sur Stéphane Rovina et semblait bien parti pour inscrire son nom au palmarès de cette 14e édition.
Une deuxième journée où la lutte devrait être rude entre Rovina et Guglielmi, pour la deuxième place et pour les victoires dans les différents groupes.

Le programme du jour
9 h 53 :Bellevale-Tassinca (12 km)
10 h 36 :Calvese-Pila-Canale (13,10 km)
12 h 07 : Bellevale-Tassinca
12 h 50 : Calvese-Pila-Canale
14 h 21 :Bellevale-Tassinca
15 h 04 :Calvese - Pila-Canale.

jeudi 7 avril 2011

Le sport auto dans la tempête | Corse-Matin





La Corse demeure une terre de passionnés de sports mécaniques et encore plus de rallyes automobiles. On pourrait alors légitimement penser, que dans l'île, le sport auto se porte bien en ce début d'année. Le retour du Tour de Corse dans le giron international, le mois prochain et dans une configuration bien plus « régionale » que les contraintes du WRC ne le permettaient pas auparavant, suffit à beaucoup pour penser que la discipline connaît de nouveau ses heures de gloire.
Pourtant, cette excitation réelle, cette joie de revivre une fois l'an, un événement majeur pour l'ensemble des Corses pourrait presque être considérée comme un écran de fumée qui masque de réelles difficultés au sein de la discipline.
Ainsi, les premières épreuves de la saison 2011 ont traduit un malaise né de différents facteurs.
La baisse du nombre d'engagés
Première observation : la qualité des plateaux s'est sérieusement appauvrie. Une situation prévisible depuis plusieurs saisons déjà et accentuée par l'absence désormais des principaux animateurs d'alors. On pense bien sûr au regretté Jean-Michel Pietri, décédé il y a deux ans, presque jour pour jour. La bagarre du Proprianais avec son homologue bastiais Jean-Marc Manzagol, souvent sur le même type d'auto, entretenait alors le suspense et l'illusion d'une bonne santé de la discipline. Depuis, le second s'est peu à peu retiré et ne réapparaît que pour une seule épreuve, en général le régional de Biguglia. Aujourd'hui, malgré l'apparition de quelques grosses autos une ou deux fois dans l'année, la majorité des épreuves doivent se contenter d'accueillir des bolides moins impressionnants et attractifs. Mais surtout, les organisateurs doivent faire face à une réduction significative du nombre d'engagés. Les trois rallyes déjà courus depuis le début 2011 n'y ont pas échappé. Tous ont connu une baisse moyenne d'environ 20 % du nombre de partants par rapport à l'an passé. Et même plus pour la Giraglia, passé de 92 concurrents autorisés à prendre le départ en 2010 à 55 seulement en 2011 !
Une hausse des coûts généralisée
La crise générale touche ainsi durement le sport automobile dans l'île. La hausse des coûts semble être le principal facteur invoqué par les pilotes.
Le week-end dernier, lors du rallye de Pila Canale, certains évoquaient en priorité cette inflation qui leur interdit de multiplier leur participation tout au long de la saison.
« Il y a une inflation des coûts à tous les niveaux. Alors, personnellement, je suis pour l'organisation de plus de rallyes régionaux, avec des spéciales plus courtes » indiquait Christophe Casalta. « Avec un kilométrage réduit à 40 kilomètres maximum par la réglementation, les rallyes régionaux font indéniablement baisser la facture. Et moins de kilomètres à parcourir, ce sont les budgets pneus et carburant qu'on réussit à diminuer. En plus, en une journée, c'est terminé. Tant que les organisateurs ne le comprendront pas, il y aura de moins en moins de concurrents au départ des épreuves. Pour ma part, je ne peux pas m'engager sur un National, trois fois plus long, avec ma voiture car je n'ai pas le budget pour cela ».

Autre pilote d'expérience, Jacques Casabianca conseille pour sa part de revenir à des sprints avec une seule grosse spéciale de 20 à 25 kilomètres à faire plusieurs fois. « Une boucle comme à l'époque du Celavu ou bien en Balagne. C'est ce qu'attendent les gens. Et puis, il y a aujourd'hui trop de rallyes au calendrier ».
Dans les parcs fermés, la multiplication des épreuves est en effet souvent pointée du doigt. Le calendrier du comité corse compte cette saison en effet douze dates, dont deux rallyes historiques et une course de côte, alors qu'une a par ailleurs été supprimée (le rallye du Pays ajaccien en ouverture en janvier) pour d'autres raisons.
Sans doute un nombre trop important de rendez-vous qui impose aux concurrents d'effectuer des choix. Mais du côté des organisateurs, on trouve une explication à la surenchère d'épreuves.
Les difficultés des organisateurs
« Les budgets d'organisation de rallyes ont aussi sensiblement augmenté » explique Pierre Boi, le président de l'ASA Corsica, l'association la plus importante de l'île avec ses 400 licenciés. « Aujourd'hui, tout se paye, même les pompiers nécessaires à la sécurité, ce qui n'était pas le cas auparavant. Une course nationale comme Pila Canale ou la Balagne coûte entre 70000 et 80000 euros. Les frais d'engagement sont loin de couvrir cette somme et la différence est financée par des partenaires, privés ou public, dont la contribution ne nous parvient que plusieurs mois plus tard. En fait, en organisant plusieurs épreuves, le principe est que la dernière sert à boucler le budget de la précédente en attendant la fin de l'année, quand les subventions sont versées...».
Les dernières critiques vont à l'encontre du Tour de Corse, positionné à une date pas forcément idéale. Pourtant, il ne semble pas sur que l'épreuve de l'ASACC au mois de mai et son rallye de doublure en national soient un véritable concurrent pour les autres, et notamment pour la Giraglia, courue deux mois et demi avant, même s'il faut faire des choix.

Aujourd'hui, les signaux d'alerte sont donc nombreux à retentir. Le sport automobile mérite une réaction rapide des dirigeants qui doivent être d'abord à l'écoute des pilotes. Une réaction nécessairement constructive malgré les antagonismes mis au jour ces derniers mois au sein du comité corse. Ceux-là seront à mettre de côté. La pérennité de la discipline dans l'île passe par là.
Un calendrier chargé
Le calendrier du comité corse compte cette année douze dates, toutes sur asphalte. Neuf rallyes dits «modernes» sont ainsi organisés à travers l'île par les cinq associations sportives automobiles (ASA) insulaires : deux «historiques» réservés aux anciennes voitures et une course de côte.
Ainsi, en moderne, la moyenne est d'une épreuve par mois, avec une coupure durant la période estivale.
12-13 février : Sartenais (régional, ASA Corsica), 4-6 mars : Giraglia (national, ASA Bastia), 12-13 mars : Giraglia historique (ASA Bastia), 2-3 avril : Pila Canale (national, ASA Corsica), 12-14 mai : Tour de Corse, Ile de Beauté (national, ASACC), 11 juin : Biguglia (régional, ASA Bastia), 26 juin : Course de côte de Coti Chiavari (ASA Corsica), 16-18 septembre : Corte (national, ASA Restonica), 4-8 octobre : Tour de Corse historique (ASA Terre de Corse), 15-16 octobre : Costa Serena (national, ASA Terre de Corse), 5 novembre : San Martino (régional, ASA Bastia), 10-11 novembre : Balagne (national, ASA Corsica).


Patrick SECCH

lundi 4 avril 2011

La première de Jean-Mathieu Leandri | Corse-Matin

La première de Jean-Mathieu Leandri | Corse-Matin



Auto - 13e de rallye de pila canale / vallée du prunelliLa première de Jean-Mathieu Leandri

La hiérarchie mécanique a finalement fonctionné. Logiquement, Jean-Mathieu Leandri a fait fructifier son avance acquise la veille lors de la première étape pour franchir la ligne d'arrivée en vainqueur, hier après-midi, au terme de deux jours de course. Sa Peugeot 207 S2000 était trop supérieure face à la Clio R3 de Pierre-Antoine Guglielmi et c'est avec un peu plus de 15 secondes d'avance qu'il est monté (pour la première fois) sur la plus haute marche du podium d'un rallye. Cette fois c'était donc à Pila Canale.

Hier, au petit matin pour la seconde étape, les concurrents avaient mis le cap sur le Taravo pour y disputer l'unique spéciale au programme à parcourir à quatre reprises. Avec huit petites secondes d'avance sur Guglielmi, on se disait que Leandri n'avait pas encore pris le large et que le suspense pouvait encore durer une partie de la journée en tête de course.

Mais dès le premier tour, dans le bon rythme, le pilote de la Peugeot frappait un grand coup. Il mettait en effet près de dix secondes supplémentaires à son concurrent. Rajoutées aux huit secondes de la veille, ça commençait à faire beaucoup pour Guglielmi qui, malgré une grosse attaque, notamment dans la corniche de la « Pedi Longa », ne pouvait refaire son retard. « À la régulière, ce sera impossible d'aller le chercher » expliquait-il au départ de l'ES 10. « Nous sommes au maximum de nos possibilités et de celles de la voiture. Il y a trop de différence entre nous. C'est dommage car j'aurais aimé que la bagarre dure un peu plus. Seule une faute de sa part pourrait nous remettre dans le coup...».

Dans la foulée, Leandri en remettait d'ailleurs une couche. De dix secondes supplémentaires. Autant dire que la course était presque jouée...

Le groupe N à Muselli, le F2000 à Lorenzoni
Derrière, les positions n'évoluaient guère par rapport à la veille. Au fil des tours, on gardait les mêmes. Ainsi, « Titi » Muselli, déjà intraitable lors de la première étape, poursuivait son leadership dans le groupe N au volant de sa Clio et gérait presque tranquillement son avance de 35 secondes sur Chassaing, son principal adversaire. Ce dernier s'était pourtant réveillé par rapport à la 1ere étape. « Nous n'avons plus de souci électrique. C'était en fait une simple broche qui était mal connectée. Mais de toute façon, Titi est trop loin maintenant ».

De son côté, même s'il était méfiant, Philippe Lorenzoni (Renault Clio) conservait la tête dans le groupe F2000. « Il faut gérer mais le problème, c'est qu'ici, je suis chez moi et je connais par cœur. Quelquefois, ce n'est pas un avantage...». Pas de soucis cependant, il gardera sa place jusqu'au terme du rallye avec une 6e place au général.

Celui qu'on attendait samedi dans les gorges du Prunelli s'était enfin mis en évidence. Ludovic Pomponi commençait à comprendre sa C2 R2 quand, dans le premier passage du jour, un problème électrique l'empêchait de s'illustrer. « C'est enfin réglé » soupirait-il avant l'ES10, « on a perdu environ 40 secondes mais maintenant on va pouvoir s'amuser...». Effectivement, le jeune pilote décrochait par la suite et à trois reprises le 3e temps scratch. Prometteur...

En tête, malgré un tête-à-queue de Leandri dans l'avant dernier chrono juste après le col de Luminataghja - « on s'est fait peur, on était à fond de quatre ! » - les positions étaient définitivement acquises. Le pilote de la 207 pouvait gérer les derniers kilomètres et laisser à Guglielmi l'ultime chrono. C'est lui qui montait sur la plus haute marche. Avec son copilote - Pierre Marien Leonardi - il est quasiment prêt pour le Tour de Corse, en IRC, le mois prochain. « Ce sera autre chose et pour nous, franchir la ligne d'arrivée sera déjà un premier objectif...»

Il en sera sans doute de même pour Guglielmi qui se mesurera alors aux cadors des Clio R3. Untout autre challenge.
Classements
Dans les spéciales

ES. 9 (Bellevalle-Pila Canale) :
1. Leandri en 8'26s0
2. Guglielmi à  9s9
3. Muselli à  31s3
4. Chassaing à  34s7
5. Lorenzoni à  40s3.

ES. 10 : 1. Leandri en 8'27s9
2. Guglielmi à  10s8
3. Pomponi à  27s3
4. Muselli à  28s8
5. Chassaing à  30s8

ES.11 : 1. Guglielmi en 8'36s7
2. Leandri à  11s9
3. Pomponi à  15s7
4. Chassaing à  21s6
5. Muselli à  22s4.

ES.12 : 1. Guglielmi en 8'34s5
2. Leandri à  1s2
3. Pomponi à  16s2
4. Chassaing à  23s3
5. Muselli à  34s8.

Général final

1. LEANDRI Jean-Mathieu - LEONARDI Pierre-Marien (Peugeot 207 S2000  
A7S) 1:08:51 : 8
2. GUGLIELMI Pierre Antoine - PORCU Jean-Francois (Renault Clio R3)  
+0:15:7
3. MUSELLI Jean-Philippe - FOLACCI Dominique (Renault Clio Ragnotti  
N3) +3:07:0
4. CHASSAING Philippe - CHASSAING Virginie (Renault Clio Ragnotti N3)  
+3:35:0
5. POMPONI Ludovic - SAVOIE Stéphanie (Citroën C2 R2 Max R2) +4:35:2
6. LORENZONI Philippe - MASSIMI Angelica (Renault Clio F214) +4:37:7
7. BAYLAC Georges - MELA Emilie Renault (Clio Ragnotti N3) +5:28:5
8. MICHELI José - DREZE Dayana Peugeot (206 WRC FA8W) +6:00:7
9. LEFEBVRE Frédéric - GORGUILO Stéphanie (Renault Clio F214) +6:38:5
10 PACCINI Jonathan - EON Thomas Citroën (C2 GT A6K) +6:39:4
11. BUFFA Francois - BUFFA Xavier (Citroën Saxo A6K) +7:04:5
12. BROQUET John - DEIANA Jose Peugeot (106 Rallye FN2) +7:36:4
13. BRACCONI Emmanuel - AMGHAR Steven (Fiat Punto F213) +8:25:0
14 MARCHINI Jean Paul - POGGI Olivier (Peugeot 106 FN2) +8:34:5
15. PAOLINI Ange - GRASSELLI (Anthony Renault Clio A7) +9:15:7
16. TUCCI Ange Marie - TUCCI Dominique (Peugeot 205 GTI F213) +10:21:6
17. BOUVIER Philippe - GALTIERI Marie-Flore (Peugeot 106 XSI FA5K)  
+10:22:9
18. GREGORY Ugo - BIGI Julia (Peugeot 106 S16 FN2) +10:42:3
19. GOUIRAND Fabien - ROCHE Rodolphe (Citroën AX Sport F2) +10:57:1
20. RONGICONI Charlotte - MUNOZ Mélanie (Peugeot 106 XSI F212) +11:22:1
21. CATELLAGGI Jean-François - FARAUT Nicolas (Peugeot 106 FN2)  
+11:32:9
22. TROMBI Christophe - GARCIA Jean-Christophe (Renault 5 GT Turbo  
FN4) +11:58:6
23. NIVAGGIONI Jean-Toussaint - TODISCO Frédéric (Peugeot 205 GTI  
F214) +12:45:5
24.GAMBARELLI Anghjulu - MANICCIA Thomas (Peugeot 206 A6K) +14:19:0
25. MORELLI Julien - CHIAPPE Patrick (Peugeot 106 XSI FN1) +14:41:5
26. MONEYRON Christophe - PINET Anthony (Peugeot 205 Kit Car F211)  
+17:44:5
27. BOUFFLET Jimmy - GOMEZ Jessica (Peugeot 106 F213) +18:16:6
28. PRUDENT Paul-Andre - TOMASINI Elodie (Peugeot 205 GTI F214) +18:24:7
29 TROMBI Philippe - BRANCA Christophe (Talbot Samba F212) +19:39:7
30. SPINETTI Laurent - SPINETTI Christophe (Peugeot 106 FN1) +20:15:2
31. POGGI Pierre - GARCIA Adelaide (Fiat Punto F211) +20:37:0
32. MURATI Jean Marie - SANTONI Laurent Renault (Clio F214) +27 : 11:7

VHC
1. De Gentili (R5 Turbo)
2. Padrona (RS 2000) à  9s8
3. Rouveiroli (R5 Turbo) à  4mn41s
4. D'Amore (Kadett GTE) à  7m00s

   
Patrick SECCHI