mardi 31 mai 2011
dimanche 17 avril 2011
jeudi 7 avril 2011
Le sport auto dans la tempête | Corse-Matin
La Corse demeure une terre de passionnés de sports mécaniques et encore plus de rallyes automobiles. On pourrait alors légitimement penser, que dans l'île, le sport auto se porte bien en ce début d'année. Le retour du Tour de Corse dans le giron international, le mois prochain et dans une configuration bien plus « régionale » que les contraintes du WRC ne le permettaient pas auparavant, suffit à beaucoup pour penser que la discipline connaît de nouveau ses heures de gloire.
Pourtant, cette excitation réelle, cette joie de revivre une fois l'an, un événement majeur pour l'ensemble des Corses pourrait presque être considérée comme un écran de fumée qui masque de réelles difficultés au sein de la discipline.
Ainsi, les premières épreuves de la saison 2011 ont traduit un malaise né de différents facteurs.
Pourtant, cette excitation réelle, cette joie de revivre une fois l'an, un événement majeur pour l'ensemble des Corses pourrait presque être considérée comme un écran de fumée qui masque de réelles difficultés au sein de la discipline.
Ainsi, les premières épreuves de la saison 2011 ont traduit un malaise né de différents facteurs.
La baisse du nombre d'engagés
Première observation : la qualité des plateaux s'est sérieusement appauvrie. Une situation prévisible depuis plusieurs saisons déjà et accentuée par l'absence désormais des principaux animateurs d'alors. On pense bien sûr au regretté Jean-Michel Pietri, décédé il y a deux ans, presque jour pour jour. La bagarre du Proprianais avec son homologue bastiais Jean-Marc Manzagol, souvent sur le même type d'auto, entretenait alors le suspense et l'illusion d'une bonne santé de la discipline. Depuis, le second s'est peu à peu retiré et ne réapparaît que pour une seule épreuve, en général le régional de Biguglia. Aujourd'hui, malgré l'apparition de quelques grosses autos une ou deux fois dans l'année, la majorité des épreuves doivent se contenter d'accueillir des bolides moins impressionnants et attractifs. Mais surtout, les organisateurs doivent faire face à une réduction significative du nombre d'engagés. Les trois rallyes déjà courus depuis le début 2011 n'y ont pas échappé. Tous ont connu une baisse moyenne d'environ 20 % du nombre de partants par rapport à l'an passé. Et même plus pour la Giraglia, passé de 92 concurrents autorisés à prendre le départ en 2010 à 55 seulement en 2011 !
Une hausse des coûts généralisée
La crise générale touche ainsi durement le sport automobile dans l'île. La hausse des coûts semble être le principal facteur invoqué par les pilotes.
Le week-end dernier, lors du rallye de Pila Canale, certains évoquaient en priorité cette inflation qui leur interdit de multiplier leur participation tout au long de la saison.
« Il y a une inflation des coûts à tous les niveaux. Alors, personnellement, je suis pour l'organisation de plus de rallyes régionaux, avec des spéciales plus courtes » indiquait Christophe Casalta. « Avec un kilométrage réduit à 40 kilomètres maximum par la réglementation, les rallyes régionaux font indéniablement baisser la facture. Et moins de kilomètres à parcourir, ce sont les budgets pneus et carburant qu'on réussit à diminuer. En plus, en une journée, c'est terminé. Tant que les organisateurs ne le comprendront pas, il y aura de moins en moins de concurrents au départ des épreuves. Pour ma part, je ne peux pas m'engager sur un National, trois fois plus long, avec ma voiture car je n'ai pas le budget pour cela ».
Autre pilote d'expérience, Jacques Casabianca conseille pour sa part de revenir à des sprints avec une seule grosse spéciale de 20 à 25 kilomètres à faire plusieurs fois. « Une boucle comme à l'époque du Celavu ou bien en Balagne. C'est ce qu'attendent les gens. Et puis, il y a aujourd'hui trop de rallyes au calendrier ».
Dans les parcs fermés, la multiplication des épreuves est en effet souvent pointée du doigt. Le calendrier du comité corse compte cette saison en effet douze dates, dont deux rallyes historiques et une course de côte, alors qu'une a par ailleurs été supprimée (le rallye du Pays ajaccien en ouverture en janvier) pour d'autres raisons.
Sans doute un nombre trop important de rendez-vous qui impose aux concurrents d'effectuer des choix. Mais du côté des organisateurs, on trouve une explication à la surenchère d'épreuves.
Le week-end dernier, lors du rallye de Pila Canale, certains évoquaient en priorité cette inflation qui leur interdit de multiplier leur participation tout au long de la saison.
« Il y a une inflation des coûts à tous les niveaux. Alors, personnellement, je suis pour l'organisation de plus de rallyes régionaux, avec des spéciales plus courtes » indiquait Christophe Casalta. « Avec un kilométrage réduit à 40 kilomètres maximum par la réglementation, les rallyes régionaux font indéniablement baisser la facture. Et moins de kilomètres à parcourir, ce sont les budgets pneus et carburant qu'on réussit à diminuer. En plus, en une journée, c'est terminé. Tant que les organisateurs ne le comprendront pas, il y aura de moins en moins de concurrents au départ des épreuves. Pour ma part, je ne peux pas m'engager sur un National, trois fois plus long, avec ma voiture car je n'ai pas le budget pour cela ».
Autre pilote d'expérience, Jacques Casabianca conseille pour sa part de revenir à des sprints avec une seule grosse spéciale de 20 à 25 kilomètres à faire plusieurs fois. « Une boucle comme à l'époque du Celavu ou bien en Balagne. C'est ce qu'attendent les gens. Et puis, il y a aujourd'hui trop de rallyes au calendrier ».
Dans les parcs fermés, la multiplication des épreuves est en effet souvent pointée du doigt. Le calendrier du comité corse compte cette saison en effet douze dates, dont deux rallyes historiques et une course de côte, alors qu'une a par ailleurs été supprimée (le rallye du Pays ajaccien en ouverture en janvier) pour d'autres raisons.
Sans doute un nombre trop important de rendez-vous qui impose aux concurrents d'effectuer des choix. Mais du côté des organisateurs, on trouve une explication à la surenchère d'épreuves.
Les difficultés des organisateurs
« Les budgets d'organisation de rallyes ont aussi sensiblement augmenté » explique Pierre Boi, le président de l'ASA Corsica, l'association la plus importante de l'île avec ses 400 licenciés. « Aujourd'hui, tout se paye, même les pompiers nécessaires à la sécurité, ce qui n'était pas le cas auparavant. Une course nationale comme Pila Canale ou la Balagne coûte entre 70000 et 80000 euros. Les frais d'engagement sont loin de couvrir cette somme et la différence est financée par des partenaires, privés ou public, dont la contribution ne nous parvient que plusieurs mois plus tard. En fait, en organisant plusieurs épreuves, le principe est que la dernière sert à boucler le budget de la précédente en attendant la fin de l'année, quand les subventions sont versées...».
Les dernières critiques vont à l'encontre du Tour de Corse, positionné à une date pas forcément idéale. Pourtant, il ne semble pas sur que l'épreuve de l'ASACC au mois de mai et son rallye de doublure en national soient un véritable concurrent pour les autres, et notamment pour la Giraglia, courue deux mois et demi avant, même s'il faut faire des choix.
Aujourd'hui, les signaux d'alerte sont donc nombreux à retentir. Le sport automobile mérite une réaction rapide des dirigeants qui doivent être d'abord à l'écoute des pilotes. Une réaction nécessairement constructive malgré les antagonismes mis au jour ces derniers mois au sein du comité corse. Ceux-là seront à mettre de côté. La pérennité de la discipline dans l'île passe par là.
Les dernières critiques vont à l'encontre du Tour de Corse, positionné à une date pas forcément idéale. Pourtant, il ne semble pas sur que l'épreuve de l'ASACC au mois de mai et son rallye de doublure en national soient un véritable concurrent pour les autres, et notamment pour la Giraglia, courue deux mois et demi avant, même s'il faut faire des choix.
Aujourd'hui, les signaux d'alerte sont donc nombreux à retentir. Le sport automobile mérite une réaction rapide des dirigeants qui doivent être d'abord à l'écoute des pilotes. Une réaction nécessairement constructive malgré les antagonismes mis au jour ces derniers mois au sein du comité corse. Ceux-là seront à mettre de côté. La pérennité de la discipline dans l'île passe par là.
Un calendrier chargé
Le calendrier du comité corse compte cette année douze dates, toutes sur asphalte. Neuf rallyes dits «modernes» sont ainsi organisés à travers l'île par les cinq associations sportives automobiles (ASA) insulaires : deux «historiques» réservés aux anciennes voitures et une course de côte.
Ainsi, en moderne, la moyenne est d'une épreuve par mois, avec une coupure durant la période estivale.
12-13 février : Sartenais (régional, ASA Corsica), 4-6 mars : Giraglia (national, ASA Bastia), 12-13 mars : Giraglia historique (ASA Bastia), 2-3 avril : Pila Canale (national, ASA Corsica), 12-14 mai : Tour de Corse, Ile de Beauté (national, ASACC), 11 juin : Biguglia (régional, ASA Bastia), 26 juin : Course de côte de Coti Chiavari (ASA Corsica), 16-18 septembre : Corte (national, ASA Restonica), 4-8 octobre : Tour de Corse historique (ASA Terre de Corse), 15-16 octobre : Costa Serena (national, ASA Terre de Corse), 5 novembre : San Martino (régional, ASA Bastia), 10-11 novembre : Balagne (national, ASA Corsica).
Ainsi, en moderne, la moyenne est d'une épreuve par mois, avec une coupure durant la période estivale.
12-13 février : Sartenais (régional, ASA Corsica), 4-6 mars : Giraglia (national, ASA Bastia), 12-13 mars : Giraglia historique (ASA Bastia), 2-3 avril : Pila Canale (national, ASA Corsica), 12-14 mai : Tour de Corse, Ile de Beauté (national, ASACC), 11 juin : Biguglia (régional, ASA Bastia), 26 juin : Course de côte de Coti Chiavari (ASA Corsica), 16-18 septembre : Corte (national, ASA Restonica), 4-8 octobre : Tour de Corse historique (ASA Terre de Corse), 15-16 octobre : Costa Serena (national, ASA Terre de Corse), 5 novembre : San Martino (régional, ASA Bastia), 10-11 novembre : Balagne (national, ASA Corsica).
Patrick SECCH
lundi 4 avril 2011
La première de Jean-Mathieu Leandri | Corse-Matin
Auto - 13e de rallye de pila canale / vallée du prunelliLa première de Jean-Mathieu Leandri
La hiérarchie mécanique a finalement fonctionné. Logiquement, Jean-Mathieu Leandri a fait fructifier son avance acquise la veille lors de la première étape pour franchir la ligne d'arrivée en vainqueur, hier après-midi, au terme de deux jours de course. Sa Peugeot 207 S2000 était trop supérieure face à la Clio R3 de Pierre-Antoine Guglielmi et c'est avec un peu plus de 15 secondes d'avance qu'il est monté (pour la première fois) sur la plus haute marche du podium d'un rallye. Cette fois c'était donc à Pila Canale.
Hier, au petit matin pour la seconde étape, les concurrents avaient mis le cap sur le Taravo pour y disputer l'unique spéciale au programme à parcourir à quatre reprises. Avec huit petites secondes d'avance sur Guglielmi, on se disait que Leandri n'avait pas encore pris le large et que le suspense pouvait encore durer une partie de la journée en tête de course.
Mais dès le premier tour, dans le bon rythme, le pilote de la Peugeot frappait un grand coup. Il mettait en effet près de dix secondes supplémentaires à son concurrent. Rajoutées aux huit secondes de la veille, ça commençait à faire beaucoup pour Guglielmi qui, malgré une grosse attaque, notamment dans la corniche de la « Pedi Longa », ne pouvait refaire son retard. « À la régulière, ce sera impossible d'aller le chercher » expliquait-il au départ de l'ES 10. « Nous sommes au maximum de nos possibilités et de celles de la voiture. Il y a trop de différence entre nous. C'est dommage car j'aurais aimé que la bagarre dure un peu plus. Seule une faute de sa part pourrait nous remettre dans le coup...».
Dans la foulée, Leandri en remettait d'ailleurs une couche. De dix secondes supplémentaires. Autant dire que la course était presque jouée...
Le groupe N à Muselli, le F2000 à Lorenzoni
Derrière, les positions n'évoluaient guère par rapport à la veille. Au fil des tours, on gardait les mêmes. Ainsi, « Titi » Muselli, déjà intraitable lors de la première étape, poursuivait son leadership dans le groupe N au volant de sa Clio et gérait presque tranquillement son avance de 35 secondes sur Chassaing, son principal adversaire. Ce dernier s'était pourtant réveillé par rapport à la 1ere étape. « Nous n'avons plus de souci électrique. C'était en fait une simple broche qui était mal connectée. Mais de toute façon, Titi est trop loin maintenant ».
De son côté, même s'il était méfiant, Philippe Lorenzoni (Renault Clio) conservait la tête dans le groupe F2000. « Il faut gérer mais le problème, c'est qu'ici, je suis chez moi et je connais par cœur. Quelquefois, ce n'est pas un avantage...». Pas de soucis cependant, il gardera sa place jusqu'au terme du rallye avec une 6e place au général.
Celui qu'on attendait samedi dans les gorges du Prunelli s'était enfin mis en évidence. Ludovic Pomponi commençait à comprendre sa C2 R2 quand, dans le premier passage du jour, un problème électrique l'empêchait de s'illustrer. « C'est enfin réglé » soupirait-il avant l'ES10, « on a perdu environ 40 secondes mais maintenant on va pouvoir s'amuser...». Effectivement, le jeune pilote décrochait par la suite et à trois reprises le 3e temps scratch. Prometteur...
En tête, malgré un tête-à-queue de Leandri dans l'avant dernier chrono juste après le col de Luminataghja - « on s'est fait peur, on était à fond de quatre ! » - les positions étaient définitivement acquises. Le pilote de la 207 pouvait gérer les derniers kilomètres et laisser à Guglielmi l'ultime chrono. C'est lui qui montait sur la plus haute marche. Avec son copilote - Pierre Marien Leonardi - il est quasiment prêt pour le Tour de Corse, en IRC, le mois prochain. « Ce sera autre chose et pour nous, franchir la ligne d'arrivée sera déjà un premier objectif...»
Il en sera sans doute de même pour Guglielmi qui se mesurera alors aux cadors des Clio R3. Untout autre challenge.
Hier, au petit matin pour la seconde étape, les concurrents avaient mis le cap sur le Taravo pour y disputer l'unique spéciale au programme à parcourir à quatre reprises. Avec huit petites secondes d'avance sur Guglielmi, on se disait que Leandri n'avait pas encore pris le large et que le suspense pouvait encore durer une partie de la journée en tête de course.
Mais dès le premier tour, dans le bon rythme, le pilote de la Peugeot frappait un grand coup. Il mettait en effet près de dix secondes supplémentaires à son concurrent. Rajoutées aux huit secondes de la veille, ça commençait à faire beaucoup pour Guglielmi qui, malgré une grosse attaque, notamment dans la corniche de la « Pedi Longa », ne pouvait refaire son retard. « À la régulière, ce sera impossible d'aller le chercher » expliquait-il au départ de l'ES 10. « Nous sommes au maximum de nos possibilités et de celles de la voiture. Il y a trop de différence entre nous. C'est dommage car j'aurais aimé que la bagarre dure un peu plus. Seule une faute de sa part pourrait nous remettre dans le coup...».
Dans la foulée, Leandri en remettait d'ailleurs une couche. De dix secondes supplémentaires. Autant dire que la course était presque jouée...
Le groupe N à Muselli, le F2000 à Lorenzoni
Derrière, les positions n'évoluaient guère par rapport à la veille. Au fil des tours, on gardait les mêmes. Ainsi, « Titi » Muselli, déjà intraitable lors de la première étape, poursuivait son leadership dans le groupe N au volant de sa Clio et gérait presque tranquillement son avance de 35 secondes sur Chassaing, son principal adversaire. Ce dernier s'était pourtant réveillé par rapport à la 1ere étape. « Nous n'avons plus de souci électrique. C'était en fait une simple broche qui était mal connectée. Mais de toute façon, Titi est trop loin maintenant ».
De son côté, même s'il était méfiant, Philippe Lorenzoni (Renault Clio) conservait la tête dans le groupe F2000. « Il faut gérer mais le problème, c'est qu'ici, je suis chez moi et je connais par cœur. Quelquefois, ce n'est pas un avantage...». Pas de soucis cependant, il gardera sa place jusqu'au terme du rallye avec une 6e place au général.
Celui qu'on attendait samedi dans les gorges du Prunelli s'était enfin mis en évidence. Ludovic Pomponi commençait à comprendre sa C2 R2 quand, dans le premier passage du jour, un problème électrique l'empêchait de s'illustrer. « C'est enfin réglé » soupirait-il avant l'ES10, « on a perdu environ 40 secondes mais maintenant on va pouvoir s'amuser...». Effectivement, le jeune pilote décrochait par la suite et à trois reprises le 3e temps scratch. Prometteur...
En tête, malgré un tête-à-queue de Leandri dans l'avant dernier chrono juste après le col de Luminataghja - « on s'est fait peur, on était à fond de quatre ! » - les positions étaient définitivement acquises. Le pilote de la 207 pouvait gérer les derniers kilomètres et laisser à Guglielmi l'ultime chrono. C'est lui qui montait sur la plus haute marche. Avec son copilote - Pierre Marien Leonardi - il est quasiment prêt pour le Tour de Corse, en IRC, le mois prochain. « Ce sera autre chose et pour nous, franchir la ligne d'arrivée sera déjà un premier objectif...»
Il en sera sans doute de même pour Guglielmi qui se mesurera alors aux cadors des Clio R3. Untout autre challenge.
Classements
Dans les spéciales ES. 9 (Bellevalle-Pila Canale) : 1. Leandri en 8'26s0 2. Guglielmi à 9s9 3. Muselli à 31s3 4. Chassaing à 34s7 5. Lorenzoni à 40s3. ES. 10 : 1. Leandri en 8'27s9 2. Guglielmi à 10s8 3. Pomponi à 27s3 4. Muselli à 28s8 5. Chassaing à 30s8 ES.11 : 1. Guglielmi en 8'36s7 2. Leandri à 11s9 3. Pomponi à 15s7 4. Chassaing à 21s6 5. Muselli à 22s4. ES.12 : 1. Guglielmi en 8'34s5 2. Leandri à 1s2 3. Pomponi à 16s2 4. Chassaing à 23s3 5. Muselli à 34s8. Général final 1. LEANDRI Jean-Mathieu - LEONARDI Pierre-Marien (Peugeot 207 S2000 A7S) 1:08:51 : 8 2. GUGLIELMI Pierre Antoine - PORCU Jean-Francois (Renault Clio R3) +0:15:7 3. MUSELLI Jean-Philippe - FOLACCI Dominique (Renault Clio Ragnotti N3) +3:07:0 4. CHASSAING Philippe - CHASSAING Virginie (Renault Clio Ragnotti N3) +3:35:0 5. POMPONI Ludovic - SAVOIE Stéphanie (Citroën C2 R2 Max R2) +4:35:2 6. LORENZONI Philippe - MASSIMI Angelica (Renault Clio F214) +4:37:7 7. BAYLAC Georges - MELA Emilie Renault (Clio Ragnotti N3) +5:28:5 8. MICHELI José - DREZE Dayana Peugeot (206 WRC FA8W) +6:00:7 9. LEFEBVRE Frédéric - GORGUILO Stéphanie (Renault Clio F214) +6:38:5 10 PACCINI Jonathan - EON Thomas Citroën (C2 GT A6K) +6:39:4 11. BUFFA Francois - BUFFA Xavier (Citroën Saxo A6K) +7:04:5 12. BROQUET John - DEIANA Jose Peugeot (106 Rallye FN2) +7:36:4 13. BRACCONI Emmanuel - AMGHAR Steven (Fiat Punto F213) +8:25:0 14 MARCHINI Jean Paul - POGGI Olivier (Peugeot 106 FN2) +8:34:5 15. PAOLINI Ange - GRASSELLI (Anthony Renault Clio A7) +9:15:7 16. TUCCI Ange Marie - TUCCI Dominique (Peugeot 205 GTI F213) +10:21:6 17. BOUVIER Philippe - GALTIERI Marie-Flore (Peugeot 106 XSI FA5K) +10:22:9 18. GREGORY Ugo - BIGI Julia (Peugeot 106 S16 FN2) +10:42:3 19. GOUIRAND Fabien - ROCHE Rodolphe (Citroën AX Sport F2) +10:57:1 20. RONGICONI Charlotte - MUNOZ Mélanie (Peugeot 106 XSI F212) +11:22:1 21. CATELLAGGI Jean-François - FARAUT Nicolas (Peugeot 106 FN2) +11:32:9 22. TROMBI Christophe - GARCIA Jean-Christophe (Renault 5 GT Turbo FN4) +11:58:6 23. NIVAGGIONI Jean-Toussaint - TODISCO Frédéric (Peugeot 205 GTI F214) +12:45:5 24.GAMBARELLI Anghjulu - MANICCIA Thomas (Peugeot 206 A6K) +14:19:0 25. MORELLI Julien - CHIAPPE Patrick (Peugeot 106 XSI FN1) +14:41:5 26. MONEYRON Christophe - PINET Anthony (Peugeot 205 Kit Car F211) +17:44:5 27. BOUFFLET Jimmy - GOMEZ Jessica (Peugeot 106 F213) +18:16:6 28. PRUDENT Paul-Andre - TOMASINI Elodie (Peugeot 205 GTI F214) +18:24:7 29 TROMBI Philippe - BRANCA Christophe (Talbot Samba F212) +19:39:7 30. SPINETTI Laurent - SPINETTI Christophe (Peugeot 106 FN1) +20:15:2 31. POGGI Pierre - GARCIA Adelaide (Fiat Punto F211) +20:37:0 32. MURATI Jean Marie - SANTONI Laurent Renault (Clio F214) +27 : 11:7 VHC 1. De Gentili (R5 Turbo) 2. Padrona (RS 2000) à 9s8 3. Rouveiroli (R5 Turbo) à 4mn41s 4. D'Amore (Kadett GTE) à 7m00s
Patrick SECCHI
dimanche 3 avril 2011
Rallye de Pila Canale : Leandri et Guglielmi au coude à coude | Corse-Matin
Rallye de Pila Canale : Leandri et Guglielmi au coude à coude
Publié le dimanche 03 avril 2011 à 09H46
Jean-Mathieu Leandri et Pierre-Marien Leonardi ont viré en tête du classement général hier soir, au terme de la première étape.Photo Michel LuccioniIls ont été les grands animateurs de ce samedi. Hier, Jean-Mathieu Leandri et Pierre-Antoine Guglielmi se sont en effet affrontés à coup de secondes, voire quelquefois de centièmes de différence, lors de la première étape du rallye de Pila Canale-Prunelli. Il y avait pourtant un troisième pilote qui devait se mêler à cette lutte annoncée. Mais cette fois, Christophe Casalta, n'a pas pu aller au bout comme lors du rallye du Sartenais en février dernier. Alors qu'il réalisait le temps scratch dans le premier chrono, sa BMW Compact montait ensuite sur un pont dans la deuxième spéciale, bloquant même un moment le passage des autres concurrents. Et même s'il sortait du secteur chronométré, il devait abandonner par la suite.
La voie libre
La voie était donc libre pour le mano à mano entre Leandri et Guglielmi.
A ma droite, une Peugeot 207 S2000. A ma gauche, une Clio R3. Le ring ? Quatre boucles à réaliser dans la vallée du prunelli entre Tolla et Radicale.
Si sur le papier, ça paraissait inégal, il n'en était rien dans les faits. Effectivement, malgré la différence de puissance entre les deux autos (la première à transmission intégrale et la seconde à deux roues motrices), c'est Guglielmi qui, en effet, décrochait d'abord l'ES.2 entre Tolla et Bastelica. Une grosse seconde de gagné sur Leandri dans les gorges du Prunelli, sur une route serrée et bosselée, que ce dernier s'empressait de reprendre lors du chrono suivant, très rapide et aux allures d'autoroute.
« On vient de reprendre la tête » confirmait le pilote de la Peugeot 207 avant d'aborder la deuxième boucle. « Tout va bien sur l'auto mais la bagarre avec Guglielmi est rude ! ».
Effectivement, le pilote de la Clio R3 ne lâchait rien et le scénario durait une bonne partie de l'après-midi.
A Guglielmi Tolla, à Leandri Radicale. « Je suis beaucoup plus à l'aise dans le serré et la voiture également, évidemment», confirmait le premier. «Si on peux limiter les différences dans les gorges du Prunelli, c'est très difficile ensuite. Alors on essaie de prendre le moins de secondes possibles jusqu'à ce soir. »
Derrière, les écarts se creusaient et on suivait le duel de tête à distance. Titi Muselli décrochait souvent un 3e temps sur sa Clio du groupe N. Et lui aussi était plus performant dans la partie bosselée des gorges. Philippe Chassaing, son habituel adversaire ne pouvait suivre le rythme. « La voiture est capricieuse avec quelques soucis électriques. Et en plus, je cours avec ma femme, donc je prends moins de risques... Mais de toute façon, Titi est intouchable ! », avouait le champion de Corse en titre.
Antoine Casabianca, pour sa part, tentait de garder le contact sur l'équipage de la Clio rouge. Plus à l'aise dans le rapide, le Proprianais, au volant d'une grosse 206 du F2000-14 avouait même que ça allait trop vite. Dans le coup jusqu'au 6e chrono, il devait abandonner dans le 7e à la suite d'une sortie de route.
Régulier, Philippe Lorenzoni amenait de son côté sa Clio du groupe F2000 jusqu'à la 5e place du général au soir de cette première étape terminée à la tombée de la nuit. Ludovic Pomponi qui étrennait sa nouvelle C2 R2 en vue du Tour de Corse, progressait au fil des tours pour terminer à la 6e place. De bon augure pour aujourd'hui...
A ma droite, une Peugeot 207 S2000. A ma gauche, une Clio R3. Le ring ? Quatre boucles à réaliser dans la vallée du prunelli entre Tolla et Radicale.
Si sur le papier, ça paraissait inégal, il n'en était rien dans les faits. Effectivement, malgré la différence de puissance entre les deux autos (la première à transmission intégrale et la seconde à deux roues motrices), c'est Guglielmi qui, en effet, décrochait d'abord l'ES.2 entre Tolla et Bastelica. Une grosse seconde de gagné sur Leandri dans les gorges du Prunelli, sur une route serrée et bosselée, que ce dernier s'empressait de reprendre lors du chrono suivant, très rapide et aux allures d'autoroute.
« On vient de reprendre la tête » confirmait le pilote de la Peugeot 207 avant d'aborder la deuxième boucle. « Tout va bien sur l'auto mais la bagarre avec Guglielmi est rude ! ».
Effectivement, le pilote de la Clio R3 ne lâchait rien et le scénario durait une bonne partie de l'après-midi.
A Guglielmi Tolla, à Leandri Radicale. « Je suis beaucoup plus à l'aise dans le serré et la voiture également, évidemment», confirmait le premier. «Si on peux limiter les différences dans les gorges du Prunelli, c'est très difficile ensuite. Alors on essaie de prendre le moins de secondes possibles jusqu'à ce soir. »
Derrière, les écarts se creusaient et on suivait le duel de tête à distance. Titi Muselli décrochait souvent un 3e temps sur sa Clio du groupe N. Et lui aussi était plus performant dans la partie bosselée des gorges. Philippe Chassaing, son habituel adversaire ne pouvait suivre le rythme. « La voiture est capricieuse avec quelques soucis électriques. Et en plus, je cours avec ma femme, donc je prends moins de risques... Mais de toute façon, Titi est intouchable ! », avouait le champion de Corse en titre.
Antoine Casabianca, pour sa part, tentait de garder le contact sur l'équipage de la Clio rouge. Plus à l'aise dans le rapide, le Proprianais, au volant d'une grosse 206 du F2000-14 avouait même que ça allait trop vite. Dans le coup jusqu'au 6e chrono, il devait abandonner dans le 7e à la suite d'une sortie de route.
Régulier, Philippe Lorenzoni amenait de son côté sa Clio du groupe F2000 jusqu'à la 5e place du général au soir de cette première étape terminée à la tombée de la nuit. Ludovic Pomponi qui étrennait sa nouvelle C2 R2 en vue du Tour de Corse, progressait au fil des tours pour terminer à la 6e place. De bon augure pour aujourd'hui...
De Gentili leader en VHC
Le rallye de doublure VHC voyait enfin Jean-Toussaint De Gentili (R5 Turbo) prendre l'avantage assez rapidement, après avoir longtemps bataillé avec la Porsche 911 de Louis Antonini. François Padrona (Ford RS 2000) terminait pour sa part à la 2e place du général.
Aujourd'hui, les concurrents mettent le cap sur Pila Canale où sera jugée l'arrivée finale après quatre passages dans la Pedi Longa au départ du col de Bellevalle. En secret, Guglielmi espérait bien refaire son retard sur Leandri dans cet ultime sprint qu'il connaît bien.
Aujourd'hui, les concurrents mettent le cap sur Pila Canale où sera jugée l'arrivée finale après quatre passages dans la Pedi Longa au départ du col de Bellevalle. En secret, Guglielmi espérait bien refaire son retard sur Leandri dans cet ultime sprint qu'il connaît bien.
Savoir +
Aujourd'hui
Départ 2e étape à 8h.
ES. 9, 10, 11 et 12 : Bellevalle - Pila Canale (12,8 km) à 8h33, 10h36, 12h39 et 14h42.
Arrivée finale à Pila Canale à 15h12.
Départ 2e étape à 8h.
ES. 9, 10, 11 et 12 : Bellevalle - Pila Canale (12,8 km) à 8h33, 10h36, 12h39 et 14h42.
Arrivée finale à Pila Canale à 15h12.
Classements
Dans les spéciales
ES.1 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. CASALTA Christophe en 4:47:9
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:03:6
3. GUGLIELMI Pierre Antoine + 0:04:3
4.CASABIANCA Antoine + 0:11:0
5. MUSELLI Jean-Philippe + 0:14:2
ES.2 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. GUGLIELMI Pierre Antoine en 3:50:6
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:01:7
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:10:0
4. POMPONI Ludovic + 0:12:2
5. CHASSAING Philippe + 0:12:8
ES.3 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 4:47:6
2.GUGLIELMI Pierre Antoine + 0:03:1
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:10:9
4. CASABIANCA Antoine + 0:11:2 5. POMPONI Ludovic +0:17:5
ES.4 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. GUGLIELMI Pierre Antoine 3:50:4
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:00:7
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:08:3
4. CHASSAING Philippe + 0:10:1
5. POMPONI Ludovic +0:10:5
ES.5 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 4:46:0. 2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:04:4
3. CASABIANCA Antoine +0:10:7
4. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:2
5. CHASSAING Philippe +0:17:7
ES.6 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 3:48:9
2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:00:1
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:08:7
4. CHASSAING Philippe +0:09:5
5. CASABIANCA Antoine +0:14:8
ES.7 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1.LEANDRI Jean-Mathieu en 4:46:9
2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:03:5
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:9
4. CHASSAING Philippe + 0:17:1 ;5. POMPONI Ludovic +0:18:0
ES.8 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1.GUGLIELMI Pierre Antoine en 3:48:0
2. LEANDRI Jean-Mathieu +0:01:3
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:9
4. POMPONI Ludovic +0:15:6
5. LORENZONI Philippe + 0:17:3
Général après la 1ere étape
1. LEANDRI Jean-Mathieu - LEONARDI Pierre-Marien Peugeot 207 S2000 A7S 34 : 33 : 6
2. GUGLIELMI Pierre Antoine - PORCU Jean-Francois Renault Clio R3 R3 +0:08:1
3. MUSELLI Jean-Philippe - FOLACCI Dominique Renault Clio Ragnotti N3 +1:22:8
4. CHASSAING Philippe - CHASSAING Virginie Renault Clio Ragnotti N3 +1:57:7
5. LORENZONI Philippe - MASSIMI Angelica Renault Clio F214 +2:18:0
6. POMPONI Ludovic - SAVOIE Stéphanie Citroën C2 R2 Max R2 +2:36:3
7. BAYLAC Georges - MELA Emilie Renault Clio Ragnotti N3 +2:50:4
8. BUFFA Francois - BUFFA Xavier Citroën Saxo A6K +2:54:2
9.STEFANAGGI Antoine - TERRONI Cédric Peugeot 205 F213 +3:06:5
10. LEFEBVRE Frédéric - GORGUILO Stéphanie Renault Clio F214 +3:13:7
11. PACCINI JonathanEON Thomas Citroën C2 GT A6K +3:32:7
12. MICHELI José - DREZE Dayana Peugeot 206 WRC FA8W +3:35:2
13. BRACCONI Emmanuel - AMGHAR Steven Fiat Punto F213 +3:40:1
14. ABELIN Fabrice - HUBAC Alisson Peugeot 206 XS A6K +3:55:2
15. BROQUET John - DEIANA Jose Peugeot 106 Rallye FN2 +3:57:9
16. BERNARDINI Jean-Paul - VOLPEI Baptiste Renault Clio RS F214 +4:38:8
17. MARCHINI Jean Paul - POGGI Olivier Peugeot 106 FN2 +4:47:8
18. PAOLINI Ange - GRASSELLI Anthony Renault Clio A7 +5:01:3
19. GREGORY Ugo - BIGI Julia Peugeot 106 S16 FN2 +5:15:2
20. TUCCI Ange Marie - TUCCI Dominique Peugeot 205 GTI F213 +5:23:0
21. BOUVIER Philippe - GALTIERI Marie-Flore Peugeot 106 XSI FA5K +5:35:2
22. GOUIRAND Fabien - ROCHE Rodolphe Citroën AX Sport F212 +5:50:2
23. RONGICONI Charlotte - MUNOZ Mélanie Peugeot 106 XSI F212 +5:50:5
24. ANFRIANI Paul Etienne - POBEDENNY Anthony Peugeot 206 XS A6K +5:51:9
25. LECA Nicolas - CHIAPPE Jérôme Peugeot 206 A6K +5:54:2
26. CATELLAGGI Jean-François - FARAUT Nicolas Peugeot 106 FN2 +6:04:3
27. TROMBI Christophe - GARCIA Jean-Christophe Renault 5 GT Turbo FN4 +6:05:2
28. NIVAGGIONI Jean-Toussaint - TODISCO Frédéric Peugeot 205 GTI F214 +6:23:3
29. MORELLI Julien - CHIAPPE Patrick Peugeot 106 XSI FN1 +6:40:3
30. RAHMANI Chokri - PIERESCHI Sébastien Peugeot 106 16S FN2 +6:47:2
31. LANFRANCHI Jean-Marc - BENESSIA Frédéric Renault Clio F214 +6:47:5
32. MICHELONI Felicien - MURA Enrique Renault Mégane F214 +7:19:2
33. NIEBERGALL Fabrice - BOUCHARD Julia Peugeot 205 Rallye F212 +7:38:5
34. COJEAN Sébastien - COJEAN QUILICI Alexandre Peugeot 106 FN1 +8:23:6
35. GAMBARELLI Anghjulu - MANICCIA Thomas Peugeot 206 A6K +8:55:8
36. BOUFFLET Jimmy - GOMEZ Jessica Peugeot 106 F213 +9:08:8
37. MONEYRON Christophe - PINET Anthony Peugeot 205 Kit Car F211 +9:14:2
38. CARTA Severine - SANROMA-LUCIANI Angelique Citroën Saxo N2 +9:34:2
39. TROMBI Philippe - BRANCA Christophe Talbot Samba F212 +10:11:3
40. SPINETTI Laurent - SPINETTI Christophe Peugeot 106 FN1 +10:38:6
41. USAI Pierre - ANFRIANI Jean-Dominique Renault 11 Turbo F214 +10:42:7
42. POGGI Pierre - GARCIA Adelaide Fiat Punto F211 +10:47:0
43. PRUDENT Paul-Andre - TOMASINI Elodie Peugeot 205 GTI F214 +11:41:8
44. MURATI Jean Marie - SANTONI Laurent Renault Clio F214 +21:11:3.
ES.1 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. CASALTA Christophe en 4:47:9
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:03:6
3. GUGLIELMI Pierre Antoine + 0:04:3
4.CASABIANCA Antoine + 0:11:0
5. MUSELLI Jean-Philippe + 0:14:2
ES.2 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. GUGLIELMI Pierre Antoine en 3:50:6
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:01:7
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:10:0
4. POMPONI Ludovic + 0:12:2
5. CHASSAING Philippe + 0:12:8
ES.3 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 4:47:6
2.GUGLIELMI Pierre Antoine + 0:03:1
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:10:9
4. CASABIANCA Antoine + 0:11:2 5. POMPONI Ludovic +0:17:5
ES.4 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. GUGLIELMI Pierre Antoine 3:50:4
2. LEANDRI Jean-Mathieu + 0:00:7
3. MUSELLI Jean-Philippe + 0:08:3
4. CHASSAING Philippe + 0:10:1
5. POMPONI Ludovic +0:10:5
ES.5 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 4:46:0. 2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:04:4
3. CASABIANCA Antoine +0:10:7
4. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:2
5. CHASSAING Philippe +0:17:7
ES.6 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1. LEANDRI Jean-Mathieu en 3:48:9
2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:00:1
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:08:7
4. CHASSAING Philippe +0:09:5
5. CASABIANCA Antoine +0:14:8
ES.7 (Bastelica-Radicale 8,3 km) :
1.LEANDRI Jean-Mathieu en 4:46:9
2. GUGLIELMI Pierre Antoine +0:03:5
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:9
4. CHASSAING Philippe + 0:17:1 ;5. POMPONI Ludovic +0:18:0
ES.8 (Tolla-Bastelica 5,2 km) :
1.GUGLIELMI Pierre Antoine en 3:48:0
2. LEANDRI Jean-Mathieu +0:01:3
3. MUSELLI Jean-Philippe +0:12:9
4. POMPONI Ludovic +0:15:6
5. LORENZONI Philippe + 0:17:3
Général après la 1ere étape
1. LEANDRI Jean-Mathieu - LEONARDI Pierre-Marien Peugeot 207 S2000 A7S 34 : 33 : 6
2. GUGLIELMI Pierre Antoine - PORCU Jean-Francois Renault Clio R3 R3 +0:08:1
3. MUSELLI Jean-Philippe - FOLACCI Dominique Renault Clio Ragnotti N3 +1:22:8
4. CHASSAING Philippe - CHASSAING Virginie Renault Clio Ragnotti N3 +1:57:7
5. LORENZONI Philippe - MASSIMI Angelica Renault Clio F214 +2:18:0
6. POMPONI Ludovic - SAVOIE Stéphanie Citroën C2 R2 Max R2 +2:36:3
7. BAYLAC Georges - MELA Emilie Renault Clio Ragnotti N3 +2:50:4
8. BUFFA Francois - BUFFA Xavier Citroën Saxo A6K +2:54:2
9.STEFANAGGI Antoine - TERRONI Cédric Peugeot 205 F213 +3:06:5
10. LEFEBVRE Frédéric - GORGUILO Stéphanie Renault Clio F214 +3:13:7
11. PACCINI JonathanEON Thomas Citroën C2 GT A6K +3:32:7
12. MICHELI José - DREZE Dayana Peugeot 206 WRC FA8W +3:35:2
13. BRACCONI Emmanuel - AMGHAR Steven Fiat Punto F213 +3:40:1
14. ABELIN Fabrice - HUBAC Alisson Peugeot 206 XS A6K +3:55:2
15. BROQUET John - DEIANA Jose Peugeot 106 Rallye FN2 +3:57:9
16. BERNARDINI Jean-Paul - VOLPEI Baptiste Renault Clio RS F214 +4:38:8
17. MARCHINI Jean Paul - POGGI Olivier Peugeot 106 FN2 +4:47:8
18. PAOLINI Ange - GRASSELLI Anthony Renault Clio A7 +5:01:3
19. GREGORY Ugo - BIGI Julia Peugeot 106 S16 FN2 +5:15:2
20. TUCCI Ange Marie - TUCCI Dominique Peugeot 205 GTI F213 +5:23:0
21. BOUVIER Philippe - GALTIERI Marie-Flore Peugeot 106 XSI FA5K +5:35:2
22. GOUIRAND Fabien - ROCHE Rodolphe Citroën AX Sport F212 +5:50:2
23. RONGICONI Charlotte - MUNOZ Mélanie Peugeot 106 XSI F212 +5:50:5
24. ANFRIANI Paul Etienne - POBEDENNY Anthony Peugeot 206 XS A6K +5:51:9
25. LECA Nicolas - CHIAPPE Jérôme Peugeot 206 A6K +5:54:2
26. CATELLAGGI Jean-François - FARAUT Nicolas Peugeot 106 FN2 +6:04:3
27. TROMBI Christophe - GARCIA Jean-Christophe Renault 5 GT Turbo FN4 +6:05:2
28. NIVAGGIONI Jean-Toussaint - TODISCO Frédéric Peugeot 205 GTI F214 +6:23:3
29. MORELLI Julien - CHIAPPE Patrick Peugeot 106 XSI FN1 +6:40:3
30. RAHMANI Chokri - PIERESCHI Sébastien Peugeot 106 16S FN2 +6:47:2
31. LANFRANCHI Jean-Marc - BENESSIA Frédéric Renault Clio F214 +6:47:5
32. MICHELONI Felicien - MURA Enrique Renault Mégane F214 +7:19:2
33. NIEBERGALL Fabrice - BOUCHARD Julia Peugeot 205 Rallye F212 +7:38:5
34. COJEAN Sébastien - COJEAN QUILICI Alexandre Peugeot 106 FN1 +8:23:6
35. GAMBARELLI Anghjulu - MANICCIA Thomas Peugeot 206 A6K +8:55:8
36. BOUFFLET Jimmy - GOMEZ Jessica Peugeot 106 F213 +9:08:8
37. MONEYRON Christophe - PINET Anthony Peugeot 205 Kit Car F211 +9:14:2
38. CARTA Severine - SANROMA-LUCIANI Angelique Citroën Saxo N2 +9:34:2
39. TROMBI Philippe - BRANCA Christophe Talbot Samba F212 +10:11:3
40. SPINETTI Laurent - SPINETTI Christophe Peugeot 106 FN1 +10:38:6
41. USAI Pierre - ANFRIANI Jean-Dominique Renault 11 Turbo F214 +10:42:7
42. POGGI Pierre - GARCIA Adelaide Fiat Punto F211 +10:47:0
43. PRUDENT Paul-Andre - TOMASINI Elodie Peugeot 205 GTI F214 +11:41:8
44. MURATI Jean Marie - SANTONI Laurent Renault Clio F214 +21:11:3.
samedi 2 avril 2011
Rallye de Pila Canale : cap sur la vallée du Prunelli | Corse-Matin
Rallye de Pila Canale : cap sur la vallée du Prunelli
Publié le samedi 02 avril 2011 à 09H19
Liste des engagés du 13e Rallye de Pila Canale - Vallée du Prunelli
Soixante-dix, ce n'est déjà pas si mal ! C'est ce que doivent se dire probablement les dirigeants de l'ASA Corsica, organisateurs par ailleurs de cette 13e édition du rallye de Pila Canale. C'est en effet le nombre d'engagés (ils seront sans doute quelques-uns de moins au départ) à cette épreuve qui débute ce matin. En effet, après une désaffection constatée le mois dernier à la Giraglia (à peine une cinquantaine d'engagés), on pouvait craindre la même chose de ce côté-ci des monts en raison des mêmes facteurs : l'argent et la proximité du Tour de Corse et de son rallye de doublure qui impose à beaucoup de faire des choix. Celui sans doute d'être présent à la mi-mai pour le retour de l'épreuve reine des rallyes insulaires. Malgré certaines difficultés, l'ASA Corsica a voulu maintenir le cap. « C'est de plus en plus difficile. Une équipe d'officiel de l'ASA Restonica s'est même désistée à la dernière minute pour les raisons qu'on peut imaginer mais nous palierons à cette absence et toutes les conditions de sécurité seront remplies », explique Pierre Boi, le président de l'ASA Corsica.
Alors, certes aujourd'hui, on ne verra pas sur la ligne de départ de très grosses autos. José Micheli (Peugeot 2106 WRC), Jean-Mathieu Leandri (Peugeot 207 S2000) et Christophe Casalta (BMW Compact) auront les montures les plus imposantes. Mais ça n'empêchera pas la bagarre dans les classes.
Et sur un parcours totalement nouveau pour cette première étape, du côté de Bastelica, le spectacle devrait être au rendez-vous. Les vrais passionnés le savent.
Alors, certes aujourd'hui, on ne verra pas sur la ligne de départ de très grosses autos. José Micheli (Peugeot 2106 WRC), Jean-Mathieu Leandri (Peugeot 207 S2000) et Christophe Casalta (BMW Compact) auront les montures les plus imposantes. Mais ça n'empêchera pas la bagarre dans les classes.
Et sur un parcours totalement nouveau pour cette première étape, du côté de Bastelica, le spectacle devrait être au rendez-vous. Les vrais passionnés le savent.
Le Programme
Aujourd'hui, départ du centre équestre de Bastelicaccia à 8h30.
ES.1,3,5,7 : Bastelica - Radicale (8,3 km) à 10h13, 13h19, 15h35.
ES.2, 4, 6, 8 : Tolla - Bastelica (5,2 km) à 11h31, 14h12, 16h28, 18h44
Arrivée 1ere étape à Bastelicaccia à 20h14.
Demain départ 2e étape à 8h.
ES. 9, 10, 11 et 12 : Bellevalle - Pila Canale (12,8 km) à 8h33, 10h36, 12h39 et 14h42.
Arrivée finale à Pila Canale à 15h12.
ES.1,3,5,7 : Bastelica - Radicale (8,3 km) à 10h13, 13h19, 15h35.
ES.2, 4, 6, 8 : Tolla - Bastelica (5,2 km) à 11h31, 14h12, 16h28, 18h44
Arrivée 1ere étape à Bastelicaccia à 20h14.
Demain départ 2e étape à 8h.
ES. 9, 10, 11 et 12 : Bellevalle - Pila Canale (12,8 km) à 8h33, 10h36, 12h39 et 14h42.
Arrivée finale à Pila Canale à 15h12.
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